Les Possédés d’Illfurth / Munstrum Théâtre
- Le mardi 5 avril 2022 à
© FNikola Cindric
« Avec le soutien de l’Onda – Office national de diffusion artistique“
Par Munstrum Théâtre
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Date : Mardi 5 avril
Horaire : 19h
Jeune public dès 14 ans
Tarif C
Genre : Théâtre
Durée : 1h10
Mise en scène et interprétation : Lionel Lingelser
Texte: Yann Verburgh en collaboration avec Lionel Lingelser
Collaboration artistique : Louis Arene
Création lumière : Victor Arancio
Création sonore : Claudius Pan
Régie : Ludovic Enderlen
Il est des légendes qui hantent les mémoires villageoises.
Dans le sud de l’Alsace, la légende des deux petits « Possédés d’Illfurth » hante les mémoires : en 1864, Thiébaut et Joseph, deux enfants de 7 et 9 ans, se trouvent atteints d’un mal mystérieux et spectaculaire.
Les autorités religieuses attesteront d’une possession démoniaque, et procéderont à leur exorcisme. 150 ans plus tard, Lionel Lingelser, natif de ce village, croise poétiquement cette histoire du dernier cas de possession avéré et celle d’Hélios, avatar fantasmé de l’adolescent qu’il était, dans un solo intime et personnel. Pour Hélios, l’exorcisme passera par la pratique du théâtre, outil salvateur de libération de la parole, qui lui permettra de se réapproprier son corps et son identité. Seul sur scène, dans une relation de grande proximité avec les spectateurs, Lionel Lingelser tombe ici le masque et tire un fil imaginaire et poétique entre ces histoires croisées, leurs abîmes et leurs blessures dans un voyage initiatique joyeux et intense.
Spectacle coup de cœur du Festival Momix 2021
“Le jeu de Lionel Lingelser impressionne par sa précision, son énergie, sa sincérité, son engagement performatif et corporel.” – La Terrasse
“Il est des créations qui vous laisse K.O. debout. Par la grâce d’un comédien, par la force d’un récit.” – Un Fauteuil pour l’orchestre
“Lionel Lingelser invite sur scène les fantômes et les démons qui ont façonné l’artiste solaire et prodigieux qu’il est devenu. Une Œuvre incandescente, folle, d’un comédien qui brûle littéralement les planches.” – L’Œil d’Olivier
